Saviez-vous qu’à l’époque, l’église avait son propre agent de la paix? On appelait cette espèce de croisement entre un policier et un gardien de sécurité, un connétable. Et il avait son propre banc situé à l’arrière de l’église. Celui-ci était surélevé, ce qui permettait au connétable de surveiller les gens présents et d’intervenir lors de mauvais comportements (comme ronfler durant le sermon?) Ce banc, qui date de 1865-66, est encore là aujourd’hui.
Une autre responsabilité du connétable? Les chiens. Plus précisément, il devait s’assurer qu’aucune de ces bêtes ne pénètre dans l’église. Et pas seulement par crainte qu’elles y fassent leurs besoins. Semble-t-il qu’une telle distraction annonçait un malheur dans le village… Est-ce ce qui explique le fait que plusieurs expressions courantes font référence aux chiens de façon négative, comme « un temps de chien » ou « c’est vraiment chien »?